Zuckerbot : le robot à l’effigie de Marc Zuckerberg conçu par des journalistes

N’ayant pas pu avoir une interview avec le patron de Facebook, le journal britannique The Guardian a créé le « Zuckerbot », un robot aux même mimiques que ce dernier.

Difficile d’attraper Mar Zuckerberg pour une interview et c’est par les journalistes qui vont dire le contraire. Toutefois, il se pourrait que ces derniers aient trouvés une alternative afin de remédier à ce problème. En effet, vexés de ne pas pouvoir recevoir le patron de Facebook au centre de multiples scandales de vie privée, le journal britannique The Guardian a décidé de créer son propre Marc Zuckerberg. Non, ceci n’est pas une blague. Le journal en association avec Botnik Studios, une entreprise spécialisée dans les chatbots a mis au point le Zuckerbot, un robot presque comme Mark Zuckerberg. Ce robot a donc remplacé le véritable Marc Zuckerberg et a été l’invité du journal. Cette expérience a été bravement applaudie car la ressemblance physique et vocale étaient au rendez-vous. Mais pour que le Zuckerbot soit crédible, des déclarations publiques et de messages postés en ligne par le vrai patron ont été analysés.

Un Zuckerbot un peu égocentrique ?

Comme nous le disions tout a été fait afin que le robot ressemble au vrai. Ainsi le Zuckerbot connaissait plus de 200.000 mots. Toutefois, le robot à l’effigie de Marc Zuckerberg renvoyait une image que l’on pouvait qualifier d’égocentrique quelques fois. Par exemple quand le Guardian lui demande si Facebook a rendu le monde meilleur, c’est sans attendre que le Zuckerbot déclare que « Facebook est une version heureuse de ce que je suis. » Certainement que le journal a fait une parodie technologique du patron de Facebook. En effet, le Zuckerbot avait parfois des paroles vides de sens et agit comme s’il était le centre du monde. « Je crois en un monde de but et d’espoir. En fait, je crois qu’il est inspirant pour tout le monde d’être un entrepreneur.»

Le Zuckerbot a décidément volé la vedette à Marc Zuckerberg. Qui sait, peut-être la prochaine fois, il acceptera l’invitation du journal britannique.