Quitter Twitter est interdit pour un homme politique en Allemagne

Robert Habeck, un homme politique allemand, a tenté de quitter Twitter. Ça a fini mal pour lui !

Twitter est avant tout un réseau de microblogging. Il a su se faire une place sur le secteur des réseaux sociaux et fait de nos jours partie des acteurs incontournables, aux côtés de Facebook. Au fil du temps, le réseau est devenu un outil de communication privilégié dans la sphère politique. Aux États-Unis, en France, en Angleterre… de plus en plus de personnalités politiques se servent de Twitter pour propager leurs idées. Mais apparemment, c’est en Allemagne que le réseau social est le plus ancré dans la tradition politique. Et pour preuve, on citera le lynchage médiatique subi par Robert Habeck, co-président des Verts en Allemagne, après avoir quitté Facebook et Twitter.

Quand Twitter et politique deviennent indissociables

Il existe pas mal de raisons pour lesquelles Robert Habeck a décidé de fermer ses comptes Twitter et Facebook. La première concerne la publication de certaines de ses photos privées et de ses données personnelles sur ces réseaux sociaux. L’homme politique avait aussi été victime de propos infamants, des choses qui arrivent régulièrement à des personnalités connues sur ces plateformes. Sinon, il faut dire que le co-président des Verts n’a pas toujours su tenir sa langue et postait des fois des messages mal vus par la presse et les internautes. Pour une personne qui a plus de 50 000 abonnés en Allemagne, des propos mal jaugés pourraient être dommageables.

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Bref, sa décision de quitter Twitter n’a pas manqué de susciter les critiques de la part de la presse. Dans le pays, un homme politique se doit en effet d’ « être capable de s’exprimer correctement » sur ces types de plateforme. En tout cas, c’est ce qu’estime une journaliste du Deutsche Welle.

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