Partager la publication "Google prêt à dédommager les propriétaires des premiers Pixel"
Google n’est plus seulement un moteur de recherche ayant le leadership. Depuis peu la firme propose des smartphones de très haute performance. Il faut savoir que la première génération de Pixel était exclusive notamment pour le marché américain. Ces derniers ayant un défaut majeur vont forcer Google à un dédommagement.
La première génération de smartphones Google n’est donc pas sans accroc. Selon nos confrères du site internet The Verge, le constructeur va devoir dédommager les malheureux propriétaires de la première génération de Pixel. La faute à un recours collectif.
Le premier Google Pixel souffrait d’un problème de micro
Pour le préjudice, la firme devrait s’acquitter de la somme de 500 dollars par appareil défectueux. Selon les premières estimations, la facture totale devrait s’élever au total à 7.25 millions de dollars, sous réserve de l’accord du tribunal. Les dédommagements ne sont pas uniformes. En effet, plusieurs cas sont pris en compte :
- 500 dollars pour ceux qui ont reçu un deuxième appareil après avoir renvoyé le premier
- 350 dollars max pour ceux qui n’ont eu qu’un seul Pixel défectueux
- L’assurance est remboursée pour ceux qui l’ont prescrite
- 20 dollars juste si vous avez eu le téléphone même sans défaut
Les téléphones qui sont concernés sont les premier Google Pixel et Pixel XL et qui ont étés assemblés avant le 4 janvier 2017. Bien entendu, il y a peu de chances que vous soyez impactés puisque le marché français a été boudé par la firme de la Silicon Valley.
La fiche technique du Google Pixel 3a sur MeilleurMobile
Le défaut qui fait mal à Google sur ses deux premiers mobiles de la gamme concernait le micro. En effet, les plaignants ont accusé le constructeur d’avoir vendu des appareils défectueux causant des désagréments notamment durant les appels. Très rapidement, Google a assumé le défaut tout en minimisant son nombre puisque la firme affirmait que cela concernait 1% des appareils. Seulement les problèmes ont persisté, ce qui a incité les consommateurs à porter plainte.
