En attendant le 14 mars
Samsung doit officialiser le Samsung Galaxy S4 jeudi prochain à New-York. Cette présentation très attendue aura lieu à 19h (heure locale). Par conséquent, si vous souhaitez suivre la présentation en direct, il vous faudra veiller tard, puisque cela commencera à partir d’1h du matin dans la nuit de jeudi à vendredi.
En attendant, le constructeur sud-coréen nous fait saliver et dévoile son futur smartphone par une première image publiée sur le compte Twitter de Samsung Mobile US (visuel ci-contre). Mais si l’on devine la forme du Galaxy S4, le visuel est très sombre et ne nous laisse entrevoir que le coin supérieur gauche de l’appareil.
Un processeur plus puissant et un écran de 5 pouces
Si le Samsung Galaxy S4 semble ressembler à son prédécesseur sur la forme, il devrait apporter de nombreux changements en termes de performances. Tout d’abord, il devrait disposer d’un écran de 5 pouces (contre 4.8 pouces pour le Galaxy S3). Il devrait également embarquer un processeur plus puissant de quatre-coeurs et 2 Go de RAM pour une navigation ultra-rapide.
Côté photo, il devrait disposer d’ un capteur de 13 mégapixels, soit ce qui se fait de mieux actuellement sur le marché. Enfin, le Samsung Galaxy S4 devrait bénéficier de la technologie Green Pholed, qui rend l’écran plus lumineux et économe que l’actuelle technologie AMOLED.
« Totalement incroyable » selon Samsung
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Samsung s’est mis une grosse pression avant la sortie de son nouveau smartphone, en le définissant comme étant « totalement incroyable ».
La firme a organisé une campagne de communication sans précédent pour mettre en scène le lancement du Galaxy S4. Samsung a en effet lancé une mini-série promotionnelle dans lequel le constructeur annonce le futur téléphone comme « l’un des produits les plus incroyables à sortir sur le marché depuis que les TV ont la couleur« .
Découvrez ci-dessous les premières vidéos de promotion du Samsung Galaxy S4 :
Et vous, qu’attendez-vous du Samsung Galaxy S4 ? Dites-le nous dans les commentaires 
Par Benjamin Trécherel
