[ Prise en main ] Motorola One : un smartphone performant sous Android One

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Nous avons pu prendre en main le Motorola One, le dernier smartphone sous Android One de la firme américaine. Que propose-t-il pour 299 euros ?

Motorola One
Motorola One

Dévoilé à l’IFA, le Motorola One est enfin disponible à moins de 300 euros en France dans de nombreuses enseignes. Il y a même une ODR de 50 euros valable jusqu’au 30 novembre prochain. Évoluant sous Android One, le smartphone promet « plus de puissance, plus d’espace et plus de sécurité ».

Motorola One : un bon écran et un design à jour

Le Motorola One dispose d’un écran LCD de 5.9 pouces d’une définition de 720 x 1520 pixels. On est donc ici sur de la HD+ et c’est bien dommage quand on sait qu’il coûte quasiment 300 euros. Néanmoins, il propose une bonne luminosité et un contraste correct même si le blanc semble parfois tirer vers le bleu.

Les bordures sur les côtés de cette dalle sont plutôt fines. Sur le front, on trouve une encoche aussi large que celle des nouveaux iPhone. En bas, la bordure est plus épaisse et c’est là que le logo de la firme figure.

Motorola One
Motorola One

Le confort d’utilisation n’est pas top puisque ce Motorola One a tendance à glisser des mains. Malgré tout, son format compact permet de le transporter facilement et l’utilisateur bénéficie tout de même un grand écran grâce au format 19:9.

Android One tourne plutôt bien

Tournant sous Android One, le Motorola One offre une expérience fluide même en mode multitâche. Sa configuration se compose d’un processeur Qualcomm Snapdragon 625, 4 Go de mémoire vive et 64 Go de stockage interne. Une carte microSD peut être insérée. À noter que le Motorola One est aussi un téléphone double SIM. Il pourra profiter d’une mise à jour vers Android P mais aussi vers Android Q. Le service de sécurité Google Play Protect et ses patches vous sont garantis pendant 3 ans.

Peut mieux faire niveau photos

Le Motorola One s’équipe d’une double caméra dorsale de 13 + 2 mégapixels et d’un APN frontal de 8 mégapixels. L’utilisateur pourra profiter de Google Lens et de Google Photos mais à part ça, l’expérience n’est pas spectaculaire, loin de là. Pendant notre prise en main, les couleurs ont eu tendance à baver sur tous les clichés. En plus, cette partie photo a beaucoup de mal à gérer les sujets en mouvement. Si vous êtes patient, vous pouvez tout de même faire quelque chose.

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