J’ai mal à ma route, l’application qui vous permet d’éviter les routes en mauvais état

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L’association 40 Millions d’automobilistes a lancé une application permettant de signaler l’état d’une route.  La plateforme a aussi pour but d’informer les usagers des axes dangereux.

Application J'ai mal à ma routeL’association d’automobilistes « 40 Millions d’automobilistes » a récemment lancé l’application « J’ai mal à ma route ». Selon Pierre Chasseray, le délégué général de l’organisation, le concept repose sur un outil simple permettant aux conducteurs ou aux passagers de géolocaliser les axes qui présentent certains dangers, entre autres, nids-de-poule, dos-d’âne, panneaux illisibles, chaussées déformées, etc. Pour ce faire, J’ai mal à ma route tient les autorités compétentes au courant des dangers détectés et affiche à cet effet en temps réel les problèmes. Néanmoins, l’appli n’a pas tout simplement été développée pour signaler de mauvaises choses. Bien au contraire, elle permet à celui ou à celle qui l’utilise d’être informé(e) lorsque les problèmes ont été résolus.

Les infrastructures peuvent aussi entraîner des accidents de la route

« On fait peser la responsabilité de la hausse de la mortalité routière sur le comportement des automobilistes. Mais des études montrent que plus de 47 % des accidents sont aussi liés aux infrastructures » explique le délégué général avant d’ajouter : « il est inadmissible de voir nos routes se dégrader ! ». L’application J’ai mal à ma route se veut donc être une plateforme mobile permettant à toutes les parties concernées par le transport routier de prendre leur part de responsabilité afin de réduire le taux des accidents.

Pour atteindre son objectif, elle cherche à améliorer les infrastructures pour procurer plus de sécurité, mais aussi et surtout, pour assurer le confort de l’automobiliste et des passagers que ce soit lors d’un déplacement en ville ou à l’occasion d’un voyage de longue distance.

Comment trouvez-vous cette application ? N’hésitez pas à nous laisser un commentaire.

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