On s’est tous déjà retrouvés à court de batterie alors que l’on attendait un appel important. Ce temps est bientôt révolu grâce à Hotel My Phone !
Hotel My phone est une application révolutionnaire qui gagne à être connue, tant elle a la possibilité de vous sauver la vie. Le principe est simple, une fois téléchargé et installé, l’application va enregistrer sur ses serveurs des données prises depuis votre téléphone, que vous pourrez ensuite réutiliser depuis n’importe quel appareil.
Imaginez, vous êtes loin de chez vous sans aucun moyen de recharger votre portable, ou pire vous l’avez complètement oublié chez vous. Il vous suffit de lancer l’application pour récupérer vos messages, vos mails et votre répertoire. Plus étonnant encore, Hotel My Phone vous permet de recevoir des appels destinés originellement à votre téléphone sur un autre mobile !
Comment utiliser Hotel My Phone
1- Vous devrez télécharger l’application sur votre smartphone, sur l’AppleStore ou le GooglePlay.
2- Il faudra vous créer un compte. C’est grâce à lui que vous pourrez récupérer les informations de votre portable.
3- Finalement, il vous suffit de vous connecter avec votre nom d’utilisateur et votre mot de passe, depuis n’importe quel appareil.
Hotel My Phone est un service dit « Freemium« , c’est-à-dire gratuit dans l’ensemble, mais avec des fonctionnalités supplémentaires qu’il faudra payer. Par exemple, en vous connectant de votre téléphone, il vous est possible de créer un réseau avec vos amis et votre famille, chez qui vous aurez la possibilité d’héberger votre téléphone gratuitement. Cependant, si votre batterie tombe à plat et que vous êtes forcé de vous connecter depuis un appareil ne faisant pas parti de votre réseau, cela vous coûtera 1$.
Maintenant, vous n’avez absolument aucune raison de louper un appel ou un message urgent, surtout que Hotel My Phone est un application téléchargeable gratuitement, aussi bien compatible avec les smartphones Android et iOS.
Vous avez pu essayer Hotel My Phone? Laissez vos impressions en commentaire.
