Un brevet évoque les lunettes de réalité augmentée de Facebook

Un brevet Oculus nous en dit plus sur les spécificités des lunettes de réalité augmentée de Facebook. Apparemment, le numéro un des réseaux sociaux pourrait sortir un produit qui exploite un concept comparable à celui du casque HoloLens AR de Microsoft.

La réalité augmentée constitue sans doute l’avenir du high-tech. Que les grandes entreprises s’intéressent de plus en plus à ce domaine n’a donc rien d’étonnant. Et justement, nous venons d’apprendre que les journalistes de Business Insider ont découvert un brevet déposé par Facebook. Le document en question concerne l’Oculus VR, la paire de lunettes de réalité augmentée que la firme de Palo Alto est en train de développer. Pour rappel, Mark Zuckerberg en personne avait parlé de cet objet connecté lors de la dernière conférence F8. Maintenant, l’avenir de cette paire de lunettes de Facebook semble donc se dessiner petit à petit.

Facebook, des lunettes de réalité augmentée comparables au HoloLens AR de Microsoft ?

En effet, ce fameux brevet déposé par Facebook évoque des lunettes de réalité augmentée disposant d’écrans transparents sur lesquels s’afficheront des informations en superposition de la réalité. D’après le document, il s’agit d’écrans à guide d’ondes équipé d’un scanner en deux dimensions pouvant « améliorer la perception du monde alentour en faisant intervenir des éléments calculés par ordinateur ». Technologiquement parlant, l’Oculus VR fonctionne à la manière du casque HoloLens AR de Microsoft. Une caractéristique qui n’est réellement pas surprenante dans le sens où l’un des auteurs du brevet n’est autre que Pasi Saarikko, un ancien ingénieur de Microsoft chargé du développement du HoloLens, mais qui fait désormais partie de l’équipe Oculus VR de la firme de Zuckerberg. Quoi qu’il en soit, sachez que ces lunettes de réalité augmentée du groupe américain ne sortiront pas avant 2022 comme l’avait précisé Michael Abrash, son responsable scientifique, lors de la dernière Conférence Facebook.

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