Partager la publication "Amazon, Apple, Facebook et Google : 4 pays refusent que la nouvelle taxe soit appliquée"
Les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) sont de nouveau dans le collimateur de plusieurs pays européens. En effet, ces derniers, dont la France, veulent instaurer des mesures visant à mettre un terme à leurs pratiques d’optimisation fiscale. Le travail risque en tout cas d’être long dans la mesure à certains pays européens ne sont pas du même avis.
Le sort d’Apple, de Google, de Facebook et d’Amazon n’est pas encore scellé en Europe. En effet, bien que l’Union européenne ait eu depuis longtemps l’intention de mettre fin à leur optimisation fiscale, jusqu’ici aucune décision concrète n’a été prise. Ce qui a poussé le président français a relancé le débat. Mais les choses risquent d’être difficiles car d’après LesEchos, l’Irlande, le Luxembourg, Malte et Chypre ne sont pas favorables aux propositions d’Emmanuel Macron qui a présenté une série de mesures dont le but est d’instaurer une taxe égalisatrice sur le chiffre d’affaires des grands groupes états-uniens.
L’Irlande en première ligne dans la défense d’Apple et de ses compatriotes
En effet, un pays semble particulièrement manifester une grande opposition vis-à-vis de ce projet de l’Union européenne. Il s’agit de l’Irlande. Ce pays d’Europe de l’Ouest a toujours été accusé en raison de ses mesures fiscales jugées trop favorables à l’égard des grandes entreprises américaines, notamment Amazon, Apple, Facebook et Google. À cause de cela, la firme de Cupertino doit d’ailleurs verser 13 milliards d’euros à l’UE. Le premier ministre irlandais, Leo Varadkar, lui, avance des pratiques favorables à la compétitivité du vieux continent. « Si nous voulons que l’Europe devienne numérique et que des champions européens émergent, la solution ne passe pas par plus de taxes et de régulation. En fait, c’est tout le contraire » a-t-il précisé lors du sommet européen de Tallinn le 29 septembre dernier.
Votre avis sur ce sujet nous intéresse. À vos claviers !
On va attendre que la crise soit de plus en plus importante ! Et ils finiront par être taxé de force.
Quel surprise!
Pour faire évoluer l’UE, il faut l’unanimité, donc il est vain d’attendre une inflexion de la politique.