Facebook et YouTube font le maximum pour supprimer les posts malveillants suite aux attentats survenus en Nouvelle-Zélande.
L’attaque est extraordinaire. Des terroristes ont pris des mosquées pour cible. Le bilan : au moins 49 morts. Facebook et Youtube se liguent contre les malveillants qui nourriraient se massacre.
Facebook x YouTube : mieux vaut prévenir que guérir
Christchurch, la deuxième plus grande ville de Nouvelle-Zélande, a subit un terrible drame. Les images de cet attentat se sont mises à circuler sur Facebook, et donc aussi sur les autres réseaux sociaux. Facebook s’est vite mis en position d’acteur de ce drame puisqu’il a supprimé les vidéos, images et divers contenus qui commençaient à prendre de l’ampleur sur le réseau social. YouTube, plateforme énorme de vidéos en tout genre, reste sur le qui-vive afin de ne voir apparaître, à aucun moment, quelconque vidéo choquante de cet attentat dramatique.
Le plus choquant reste tout de même le Facebook Live d’un assaillant lorsqu’il s’est mis à donner l’assaut et à tuer des personnes de sang froid. Dans la foulée de l’attaque, la police néo-zélandaise est intervenue et a envoyé un message aux utilisateurs : « Des séquences extrêmement pénibles concernant l’incident de Christchurch circulent en ligne. Nous demandons immédiatement que ceux-ci ne soient pas partagés et travaillons pour que les séquences soient supprimées. ». Tous les contenus non vérifiés liés à l’attentat ont aussi été supprimés, ce qui veut dire que les messages de soutien n’apparaissent également plus. Le compte du tireur fou a aussi été supprimé. YouTube y est aussi allé de son allocution : « Nos cœurs sont brisés aujourd’hui, après cette terrible tragédie en Nouvelle-Zélande. Sachez que nous travaillons avec vigilance pour supprimer les contenus violents ». Des mises en place plutôt rassurante et comme on dit, il vaut mieux prévenir que guérir.
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