Pour avoir envoyé plus de 65 000 SMS, une américaine s’est faite arrêter par la police. 65 000 tout de même…
Alors là, il y a de quoi avoir peur pour l’homme qui a subit ça. Premier rendez-vous et pas moins de 65 000 SMS envoyés. Après tout, si elle a eu le coup de foudre, ça peut se comprendre. Ce qui est sûr, c’est qu’elle ne recevra plus de coup de téléphone.
Harcèlement ? Quel doux euphémisme
Au niveau des dommages collatéraux : des touches de téléphone en flamme et deux pouces luxés pour la dame, 3/10 de chaque oreille de perdu pour le monsieur. Plus sérieusement, cette américaine de 31 ans a été arrêtée par la police le 8 mai dernier après avoir envoyé un léger surplus de SMS (65 000) à un homme qu’elle avait simplement rencontré l’été d’avant via une app de rencontres. Au départ, ça a matché puisque les deux antagonistes (qui n’en n’étaient pas au départ) se sont vus lors d’un premier rendez-vous lorsque la femme commençait déjà à se comporter de manière douteuse. Aujourd’hui derrière les barreaux, elle a tenue à s’exprimer, souhaitant tempérer la situation : « Je pensais avoir rencontré mon âme sœur. Je pensais que nous ferions ce que tout le monde fait, puis que nous nous marierons et que tout irait bien ». Oui mais 65 000 SMS par jour simplement pour demander s’il a acheté du pain, ça fait un peu beaucoup, madame.
43 658 nouveaux messages : « Mon lapin, t’es où ? Je veux ton sang »
À la suite de ce rendez-vous, les menaces ont pris le dessus sur les mots doux, car d’après les autorités de l’Arizona, la femme aurait envoyé déjà 500 SMS par jour depuis l’été dernier. Des messages qui n’incitent pas réellement à revoir une femme « N’essaye jamais de me quitter, je vais te tuer, je ne veux pas être une meurtrière ! » ou bien « J’aimerais me baigner dans ton sang ». Ensuite questionnée sur le nombre de SMS qu’elle a pu envoyer, elle a simplement répondu en disant que tout n’était pas parfait en amour… Effectivement, tout le monde ne peut pas offrir un bain d’amour à son compagnon, surtout lorsqu’il est de sang. Là où l’histoire devient plus grave, c’est qu’elle ce serait présentée à multiples reprises à son travail et est rentrée par effraction à son domicile. Elle prétendait simplement être son épouse. Harcèlement et intrusion criminelle, voilà ce qui est reproché à cette jeune femme qui devait comparaître devant la justice le mardi 15 mai. Une histoire que l’on peut qualifier de cocasse aujourd’hui mais qui risque d’en faire reculer plus d’un lors de son prochain rendez-vous Tinder.
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