Une plainte a été déposée par trois des familles des victimes de la tuerie d’Orlando, contre Facebook, Twitter et YouTube. Les réseaux sociaux seraient à l’origine de la radicalisation de l’homme. Meilleur Mobile vous en dit plus.
Vous vous demandez certainement quelle est la cause de cette plainte ? Eh bien, sachez que les familles des trois victimes de la tuerie d’Orlando ont porté plainte contre les trois géants du web. Cette plainte fait suite à la fusillade qu’il y a eu dans la boite de nuit LGBT en juin dernier, qui a fait près d’une cinquantaine de morts. Facebook, Twitter et YouTube seraient à l’origine de la radicalisation de l’homme. il est explicitement cité que les géants auraient été à l’origine d’un « soutien matériel » à l’Etat Islamique, à la suite de plusieurs « comptes qui ont été utilisés pour propager leur propagande extrémiste, lever des fonds et attirer de nouvelle recrues. » Il est également cité que « l’essor de l’État islamique en tant que groupe terroriste le plus redouté au monde au cours de ces dernières années n’aurait pas été possible », sans la restriction que les géants du web auraient due faire pour limiter les informations qui circulent sur les réseaux.
La justice américaine ne tient pas pour responsable les géants du web
Pourtant, les réseaux sociaux sont les premiers à dénoncer les actes terroristes, et qui sont également en phase de signaler les contenus non appropriés. Un porte-parole de Facebook a notamment réagi sur CNN en expliquant qu’ils prennent « des mesures rapides pour supprimer ce contenu quand il nous est signalé. » Ce n’est pas la première fois qu’une plainte contre les géants du web a été déposée après des attaques terroristes.
Pour le moment, la justice américaine ne tient pas en compte les géants du web comme responsable de ces attaques. Les contenus publiés en ligne ne peuvent être modérés à tout instant, pourtant, ils se démènent pour modérer aux mieux les contenus signalés par les utilisateurs.
Que pensez-vous de cette affaire ? N’hésitez pas à nous laisser un commentaire.