Selon une étude menée par des chercheurs en psychologie de l’Université de Pennsylvanie, les réseaux sociaux pourraient être mauvais pour la santé mentale. Cependant, il existe des solutions pour limiter les effets négatifs.
Aujourd’hui, les réseaux sociaux font partie intégrante de notre vie quotidienne. L’on devient de plus en plus dépendant, jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer. Pourtant, ce serait un comportement mauvais pour notre santé mentale. Du moins, c’est ce que révèle l’étude effectuée par une équipe de chercheurs en psychologie de l’Université de Pennsylvanie. Selon cette étude, il existe bel et bien une relation de causalité entre l’utilisation massive des réseaux sociaux et la régression du bien-être.
Les réseaux sociaux augmentent les risques de dépression
Avant d’arriver à cette conclusion, les chercheurs ont effectué une expérimentation sur une population donnée. Elle se compose essentiellement d’utilisateurs intensifs des réseaux sociaux. A l’issue de l’expérience, ils ont pu observer que les risques de dépression ont augmenté chez ce type de population. Les utilisateurs développent aussi un sentiment de solitude plus important, ce qui n’est pas bon pour leur santé mentale.
A noter que ce ne sont pas tous les médias sociaux qui provoquent ces effets. Trois applications ont été citées comme les plus dangereuses : Facebook, Instagram et Snapchat. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elles favorisent l’addiction et incitent les utilisateurs à y passer plusieurs heures par jour. Pour lutter contre les effets négatifs des réseaux sociaux, des mesures sont à prendre concernant le temps passé par jour sur ces plateformes. Il faudra aussi se lancer dans des activités de détente telles que la méditation, le sport ou encore la lecture. Enfin, il ne faut pas non plus oublier de soigner les relations avec les personnes qui vous entourent.
Que pensez-vous de cette étude ? Seriez-vous prêt à réduire le temps passé sur les réseaux sociaux pour préserver votre santé mentale ? N’hésitez pas à partager votre avis dans les commentaires.