Arrivée sur le marché français de la téléphonie seulement l’an dernier, la marque chinoise Xiaomi est aujourd’hui l’une des plus influentes. Une ascension qui peut inquiéter la concurrence.
On se rappelle encore de l’arrivée de Xiaomi dans le marché mobile français en 2018. Si la marque a connu des débuts timides, elle a su rapidement s’insérer dans le mouvement. Avec l’ouverture de maintes boutiques dans l’hexagone et de son site internet français, Xiaomi a pu graduellement s’imposer dans le marché du mobile. Oui, selon le rapport publié publié par l’analyste Canalys, la marque chinoise fait maintenant partie de la restreinte liste des marques les plus vendeuses en France. Il s’agit là d’une évolution en un temps record. Une ascension qui a de quoi inquiéter les autres concepteurs du marché. On rappelle que le marché de mobiles est rempli de concurrence. Et la marque Xiaomi, arrivée dernièrement en est bien consciente. Toutefois, le constructeur s’est imposé dans l’Hexagone écoulant 1 million de smartphones en seulement 10 mois.
Les grandes marques perdent leur monopole
Samsung, Huawei et Apple n’ont qu’à rester sur leur garde puisque la tornade chinoise arrive. En effet, la marque chinoise Xiaomi se rapproche de ces grandes marques de la téléphonie. Bon, nuançons tout de même nos propos. Xiaomi est encore très loin de la marque dominant le marché mobile à savoir Samsung. Oui, le géant Coréen augmente pour ce 3e trimestre son chiffre d’affaires de +25%. Cependant on ne peut dire la même chose des marques Huawei et Apple qui eux, font une dégringolade mais conservent leur place de 2e et 3e du marché. Xiaomi suit de très près ces derniers et pourrait constituer d’un véritable danger pour eux surtout pour Apple qui est actuellement en troisième place. Est-ce possible que Xiaomi prend la place de la mythique pomme croquée ? Une histoire à suivre …
Xiaomi continue sa petite route, avec 1 million de smartphones vendus en France en l’espace de 10 mois, la marque montre à ses concurrents qu’elle n’est plus une marque de seconde zone.