Après une étude très sérieuse effectué en Inde et en Grande-Bretagne, des chercheurs affirment que l’addiction aux selfies, est une maladie mentale.
Selfies : la maladie mentale a trois niveaux de gravité
La Selfitis est le mot employé depuis 2014 pour parler de l’addiction aux selfies. A l’époque, le fait de penser que c’était une maladie était une grande boutade, un sujet facile pour les humoristes contemporains, une « fake news ». Mais ça c’était avant. Car des chercheurs indiens et britanniques ont fait une enquête sur 400 personnes sur la façon dont il pratiquait le selfie.
Grâce à ça, les chercheurs ont pu déterminés plusieurs catégories d’addiction aux selfies. Il y a tout d’abord les « borderline », ceux qui se prennent en photo, sans toutefois le partager sur les réseaux sociaux. Puis, on a les « acute » qui partagent la photo et enfin, il y a les chroniques. Eux ne peuvent s’empêcher de se prendre en photo à répétition et à partager le résultat sur les réseaux sociaux. Et cela peut se répéter plusieurs fois dans la journée. Pour détecter la maladie, les chercheurs ont notés une liste de 20 symptômes. Si la personne se sent confiante après avoir pris un selfie, si elle s’exprime mieux à travers un selfie, ou si elle espère une meilleure appréciation de ses amis après un bon selfie, c’est qu’elle est atteinte de la maladie.
Il faut rappeler que plusieurs accident sont eu lieu à cause des selfies. Un néo-zélandais s’est tué en prenant un selfie depuis sa fenêtre. Récemment, un jeune homme russe s’est tué en se prenant en photo, une grenade dégoupillé à la main.
Que pensez-vous de cette découverte ? Pensez-vous que e fait de se prendre en photo régulièrement est une maladie mentale ?