Oculus a connu des jours meilleurs. Après son rachat par Facebook il y a 3 ans, la société américaine se retrouve être la cible d’une lourde accusation. En effet, ZeniMax avait porté plainte contre Oculus pour rupture de clause de confidentialité. John Carmack, fondateur de l’id Software avait été pris pour cible par ZeniMax. Pour cause, ancien de la maison de ZeniMax, John Carmack avait laissé cette dernière pour rejoindre l’équipe d’Oculus. Il aurait ainsi dévoilé les connaissances de son ancienne entreprise à sa nouvelle. Oculus a toujours nié ses accusations, malgré cela, Facebook a tout de même été condamné à verser 500 millions de dommages et intérêts. ZeniMax veut désormais frapper encore plus fort, en interdisant purement et simplement la vente des produits de réalité virtuelle d’Oculus.
ZeniMax réclame l’arrêt de la commercialisation ou 20% sur toutes les ventes de produits d’Oculus
ZeniMax reproche à Oculus de lui avoir dérobé un code nécessaire à la réalisation de la réalité virtuelle. Pour sa défense, Oculus a affirmé que ZeniMax ne proposait aucun produit en concurrence avec les siens et qu’elle n’a toujours pas trouvé le code en question. La société réclame donc en plus, des 500 millions déjà reçus, l’arrêt de la vente des jeux Oculus ou 20 % de la recette des produits vendus. La guerre est donc à son apogée entre les deux parties. Cependant, après la première victoire de ZeniMax, le juge chargé de l’affaire souhaite calmer le jeu en proposant de partager le butin en deux. Pas sûr que cela conviennent aux deux entreprises…
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